9 décembre 2007

Paris, Hétaïre aux grands airs. Me voici. Adieu ma pauvre amie.

J'apprécie les perspectives aguicheuses qui rythment le mécanisme de mes pensées actuelles.

Le départ, non pas au pied levé comme il eu été réalisé la 1ere fois, mais le départ quand même.

Nous ne sommes plus dans le dépucelage, la profession de foi lui succède et l'espoir d'une confirmation rend la palette d'autant plus colorée.
L'envie oppressante de ne plus vivre les jours qui me séparent de ce lundi dé[noir]cit semble s'être estompé.
Mais lunes est si proche, presque autant que Lutesse qui, présente dans mes soupirs les plus profonds, n'a jamais été aussi riveraine de mon existence futile.

Le souvenir d'un voyage. Une histoire de quelques jours avec mes si persuasifs comparses.
Souvenir imputrescible et intarissable.

Je tiens à conclure les prémices d'une échappée sentimentale par ces quelques mots :
Que les inssuportables égocentriques emprunts de fierté, et à l'insoutenable manque d'autocritique se noient dans leur merde.

MOI, je m'en vais.


Adieu

[Un manque saura quand même se faire ressentir.
A lui : à très bientôt]

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Il vous accompagne.

Anonyme a dit…

C'est qui lui?

MindWideShut a dit…

Lui... "Il est bien fort, il est puissant ce bien pensant. C'est qui ce Lui ? Lui que je suis, moi qu'il n'est pas. C'est Me." C'est Tuthur, Flo... ^^ qu'on a emmené dans nos cœurs, à défaut de corporellement.

PEDRUCH[ICHI]KIGNA a dit…

Et si tu parle de "lui", celui à qui je dit à bientot, je te laisse réfléchir. C'est un lui qui peux compter double.

Ecrit pour celui qui aurai pu etre le 4eme comparse mais qui ne pouvait par obligation scolaire...

Il peux également transporter une pensée pour le 3eme qui était il y a quelque mois en ce lieu à nos cotés.