Elle a déjà commencé à s'immiscer dans mes satanées neurones, la foutue punition.
Vilaine fille.
Mes engagements sont bien trop vite déçu, ma persévérance est mise à l'épreuve et semble vouloir s'offrir la dernière place du classement. Implication primaire fantasque, retrait du monde réel secondaire effrayant.
Passage d'un extrême à l'autre, la stabilité semble être loin derrière ; au mieux, loin devant...
Je m'endors et ne me réveille pas.
Une manière de fuir la réalité. Fondue dans un sommeil profond aux acres parfum attrayants, elle préfère vivre dans un univers fantasmatique où tout peut se produire, où le don de forces s'ammenuise, où son esprit ne lui ment plus, où les masques se succèdent pour son plus grand plaisir.
La punition va tomber, elle est trop longtemps restée dans les bras de Morphée.
Insoutenable volonté à tendances maniaques de tout bien faire, elle se contredit par son manque d'action.
Contradiction mon sage biotique...
Le paradoxe n'y est même pas applicable.
Je vis dans l'utopie d'une attente.
La passivité me rend frigide et le manque de persévérance me fait débander. Alors pourquoi s'immoler? Masochisme mal placé peut être.
"Si tu continue, la punition sera d'autant plus grande"
On ne peut pas plaire à tous : on ne peut pas plaire à tout.
Ma philosophie hédoniste se transforme en faire du but de ma vie mon plaisir et en simultané celui des autres.
Le coït de ses deux notions semble perturbé : l'un gêne opiniâtrement l'accomplissement de l'autre.
Les solutions sont dans l'action.
Je vais m'analyser salle 230b dans les locaux miteux de notre faculté "autonomiquement" privatisée. Paradoxe.
La réponse s'en suivra.
Je ne veux pas de ce putain d'égocentrisme moderne en moi
C'est dit.
Ce qui est fait est fait :
l'essentiel reste à faire.
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