28 décembre 2007

Il y a des soirs comme ça...

...et même des journées, mais le pire c'est des nuits.

Quand la fatigue n'est plus et que l'on force les paupières à rester closes. Que les situations se succèdes et perturbent les prémices d'une somnolence déjà redoutablement saccadée. Les minutes défilent, les heures trèpassent et toujours aucun signe d'asthénie. Les yeux grands ouverts, le coeur gros et serré, ce foutu ésprit éxténué : Qui du corps ou du cognito gagnera le combat.

Elle ne sais pas, hélas l'affrontement semble vain.

Ce soir, nous avons croisé l'eclectisme sous sa forme la plus déroutante.
Mon sentiment à l'égard de cette rencontre d'un mélange mélodramatique des genres : le dégoût.
Notre "Coluche" Carlonien avait raison.
"L'eclectisme est ideux", d'une certaine manière.

Je m'en vais de ce pas négocier une place dans l'attrayante mousseline que me refusent les bras de Morphée, et surtout dans un lit déjà bien occupé...

Mauvais jour, mauvais soir, mauvaise nuit...
Encore un triptyque.

Décidément.

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