28 janvier 2008

A l'heure des bronchites chroniques et des rhûmes perseverants ; elle crache le mucus étouffant

Grand Dieu, ce que c'est bon de se sentir vivre.

Oh oui !

Vous avez bien compris mes chers amis, pas exister ; v i v r e.
Je m'en souviens.

La sortie des bras de Morphée, je vous l'accorde, laisse toujours à desirer.
Car, c'est dans une vague de douleur déchirante que la réalité m'arrache, chaque aube naissante, aux indescriptibles illusions nocturnes.

Il est si appréciable de s'y perdre.

Petit poucet, hélas, nous ne le restons pas bien longtemps. Les miettes de pains ne sont ici que de vulgaires restes d'un cheese burger transpirant de graisses ce qui, très peux attractif, n'est en aucun cas devoré par les bestiaux avoisinant avides de gastronomie.
Les magnétismes agressent la bousole, et la flèche métallique recouvre rapidement le nord.
La sortie, généralement bien indiquée n'epargne pas le héros déchu de l'histoire.
Douloureux reveils ; elle a décidé de ne plus s'y enfermer.

Forcant les portes austères, elle arrache les chaines normatives verrouillant des chemins pourtant attrayants, dechire les cordes liant pieds et poings sequestrés, ouvre son poitrail aux bourrasques exterieures décadenacant ainsi conduit nasal, trachée et bronchioles poussiéreuses.

Je reste impassible face aux murs et à leurs prémices de construction.
Je sais parfaitement que je suis la seule et unique responsable de la mise en place des briques. Sont elles solides, sont elles fugaces.
Inutile de se voiler la face, ils sont inévitables les murs et se construisent un peux plus à chaque pas élancé.
Je suis tout aussi consciente de l'epreuve du temps que les edifices subissent, de leur destruction resultantes de violentes agressions et de la disparition de certains d'entre eux sous les saillies des nouveaux materiaux.

L'essentiel etant de garder le visage au dessus de la dernière rangé de pavés enduis, c'est le regard surplombant les multiples chantiers alentours que la volonté restera intarissable.

Si ce soir je m'empare du pavé informatique, c'est dans le but d'exulter.
Besoin insupportable de raconter la journée convenablement remplie,
Pourtant, je ne le ferait pas.

Je m'en arreterai alors aux préparatifs de l'exposition ; à la sensation d'accomplissement qui, lorque après un bain bien mérité dans le revelateur sont nées des photographies offrant leur interiorité, à la nécrose cerebrale qui a pris possession des viscères cranniennes, au questionnement permanent.

On m'a dit "Fais ce dont tu as envie, envoie ballader ce qui te prend la tête"

Ma tête, et surtout mon nez, sont pris, terriblement pris et pourtant je ne parviens pas à les envoyer ballader.

Et si ce dont elle a envie lui demandais une prise de risque trop grande? Et si dans son élan d'egoisme profond elle préférait preserver son avenir au dépend du bonheur certain d'autrui? Et si ses choix ne dépendaient pas totalement d'elle et que meme consciente des risques elle continuait à laisser carte blanche aux autres? Et si au final dans l'histoire c'etait elle la conne?

Et si, et si.
Si n'existe pas, du moins plus.

J'ai envie de prendre des risques, de preserver mon avenir mais pas au dépend du bonheur des autres, de laisser carte blanche aux autres malgré ma consience des risques, d'etre la conne.

Les desirs sont des ordres.
Jesus à dit "Aime ton prochain comme je t'ai aimé"
Moi je relance "Prend moi pour une conne comme je t'ai pris pour un con"

C'est le temps de moissons, de la recolte du fruit semé.

"Tu es trop sensible, c'est mal"

Vous ne l'êtes pas assez, c'est vomitif.

27 janvier 2008

Occupations fructueuses.

Experience photographique.
L'exposition se prépare.

L'affichage sera représentatif,


Très représentatif



Photo 1 : Les facades défraichies transpirent les vices d'une humanité admirablement detestable.

Photo 2 : Lignes de fuites, perspectives aguicheuses ; la verticalité de la ville penetre l'horizon nouveau.

Photo 3 : Ruissellements de pisses, effluves aux particularités marines ; la vielle ville noie ses atouts sous les saillies des affables hominidés.

Photo 4 : Scène d'un quai ; mine grisatre d'une epoque au ciel à la symptomatique bassesse.

Photo 5 : Tirée jusu'a sa blancheur la plus pure, la nuit est morte derrière les edifices Lutessiens.
Disparition du Paris d'antant au profit d'un travestissement moderne.

Photo 6 : Nostalgie d'une époque que nous n'avons pas vécue

26 janvier 2008

Un de plus, un de moins. C'est la meme : l'inspiration lui fait faux bond

Une année de plus ;

un jour de moins à vivre.
L'anniversaire à été consomée.
Inlassablement les journées se consument.

Ce soir, les minutes se succèdent aux côtés des anciens.
Demain, l'alcool reprendra ses fonctions et s'appropriera chaque parcelle de mes chairs dépourvues de toute volonté.

L'heure actuelle pronne son laissé aller.

Vidée d'inspiration, je vais.

25 janvier 2008

Happy New Age. Happy, happy ; en quoi celà doit il nous rendre heureux?

19, l'age du crime.

Batard, ingrat, impair, aucunement multiple de 2 ;
appelez le comme vous le souhaitez, en ce qui me concerne, je me contenterai de l'ériger au rang de bagatelle, ou de futilité.

Et pourtant, 25 janvier ; jour du drame.
Ce n'est pas d'ailleurs, comme on le dit bien trop souvent, une année mais une journée de plus.
En l'occurence nous n'en sommes, à l'instant où je discours, qu'à une moitié d'heure.

Une moitié.



Je délire.

L'intrigue se trame depuis longtemps déja.

Je ne sais que dire.
Ou du moins, comment l'expliquer.
Je prendrai le temps, plus tard.

Peut être.

"Joyeux", comme la notice de la coutume l'indique.

19 janvier 2008

Tue le temps, crève l'ennui ; noie ses nuits.

De bars en soirées, de nuits blanches en levés de soleil.
De remords inéxpliqués en décors inexpliquables.
De nule part à ailleurs.

Caractéristiques d'un accomplissement devenu omniprésent et parfaitement viable à jeun, les os se font plus sympathiques, ils s'exibent gentillement.
Il n'est plus question de quoi que ce soit, même si tout est devenu question.
Elle vit simplement d'émigration et de bierres fraiches.

Plaisir du voyage, elle vole à la rencontre de l'altérité, au secours de son autonomie et au dépend de son futur.
Les autres.
Contact prolongé ; les "tuberculeux" ne sont en aucun cas mis à part.

Le lieu d'étude est vacant, la ville lui appartient, le verre bouteille rafraichie les extrémités bouillonantes et demandeuse de sa main vidée de tout "surplus inutilitaire".
Plus.
Gaspiller face à l'abondance.
Elle n'existe que dans le trop.
Mais jamais assez.

Echappés alcooliques, vapeurs d'éthyle aux vertues fluidificatrice des non-dits.
Bien être de l'image troublée.
Les rues vidées grouillent d'êtres vivants bruyants, de sonorités imperceptibles mais audibles.
Les conversations ivrognes cèdent la place aux altercations physiques.

Pleurer la transparence des corps ; Necessité de faire sortir les interiorités.
La sincérité déstabilisante de l'ivre transpire cette envie moderne.
Les contours doivent profiter, les organes subsister et la conscience laisser place à "ça".
Les flous alcooliques se perpetuent dans les flasques transportables.

Elle, devient le temps d'une utopie le receptacles du liquide agréablement déctructeur.

Joie.
Desinhibition.
Tranquilité d'esprit.


Exacerbation.
Quand le scolaire n'est plus, le temps d'un repos offert par l'éducation nationalement sympathisante, les barrières s'écroulent, les envies deviennet prioritaires, les moyens se les donnent.

Elle à cessé de dire.
Elle agit.

Epuisée


Catin

17 janvier 2008

Où est t-il? Le franc parlé, le parlé franc : Le franc tout cours.

"Bite, couilles, chatte"

Et bien oui mes pauvres amis,
Soyons simples, soyons direct!

Et surtout soyons francs.

Ah, la franchise, la traitresse, la catin.
Grand dieu ce qu'elle nous fait faud bon cette prostitué sans coeur, cette indéfinissable virevolteuse.
Je maudits ses absences et crève en ses apparitions soudaines.
Bénit soient ceux qui ne se défilent pas à son épreuve déstabilisante.

C'est dépourvue d'un franc courage, d'une belle montagne d'écus et emplie d'une volonté de vaincre dévastatrice que je me fourvoie.

Quelques heures, au moins.

Quelque heures avant d'affronter demain.

15 janvier 2008

"Marchant dans la brume, le coeur démolit par une..."


"Toi qui a mis
Sur ma langue ta langue amie
Et dans mon cœur un décalcomanie
Marqué liberté liberté chérie


Si tout est moyen
Si la vie est un film de rien
Ce passage-là était vraiment bien
Ce passage-là était bien
"

Alain Souchon - Le baiser


J'avais envie.

14 janvier 2008

Parceque les tournants ne se prennent pas qu'à contre coeur...

Elle s'apprête à sortir.

Légères crampes abdominales, excitation engendré par les attraits nocturnes des ruelles d'une ville enfin dépourvue de sa population défaillante.

Il y avait fort longtemps que ça ne lui était plus arrivé.
C'est tellement bon.
La défaite qu'elle vient d'essuyer aux examens en est reléguée au rang de baguatelle.
Ce soir, rien n'est à deplorer.
Ou si, tout l'est peut être, mais je ne ressent aucun besoin de le faire.

Laisser couler les minutes, tomber la pluie, fuir les interrogations et glisser la rengaine.

L'ame se prélace dans les relants de chaleurs d'une piece aux fenêtre embuées.
Le ciel pisse ses aspirations, les lampadaires crachent leurs energies lumineuses, les enceintes de l'instrument informatique vomissent des basses lourdes de signification, la population locale piaille son historicité, et moi, c'est accompagné de ma douce amie fumante au ardeur erectiles que je m'enfonce dans les contours du fauteuil.

Je m'en vais de se pas profiter des mes jeunes heures, loin de l'existentiel et de ce psychodrame.

Je pisse ma liberté, crache mon envie, vomis mon autonomie et vous piaille mes perspectives.

"Je" se casse.

Elle sort.

12 janvier 2008

Elle vend la peau de l'ours : le sentiment hivernal à été tué

Pas le temps de penser. A bien, à mal ; à rien.
Elle vend la peau de l'ours : le sentiment hivernal à été tué.
La pluie laisse couler ses douleurs sur les carreaux embués des foyers.
Elle pleure pour moi.
Elle a, le temps d'un triptyque de nuits indécises, vidé l'informel des mauvais sort et mes chairs des brumes étouffantes.

Partie à la conquête de l'autre ; la bonne brume.
Une ciguarette, quelques mégots, un verre de blanc et des visages qui défillent.
Juste les bonnes personnes, juste les bons lieux.
Un chemin parsemé d'embuches aux doux parfums de lait fraise.
L'arrière goût ne laisse plus à désirer, c'est plaisant.
Je me love au sein de l'avancement sacré des nouveaux jours levés et défunts dans un sentiment d'accomplissement moltonné.
La mousseline caresse mes pores.

Ce qu'il faut :
Se donner les moyens.

Pleine de prétention, je me les offre.

8 janvier 2008

Rendez-vous avec l'avenir. A commencer par le présent, il faut un début à tout.

Je veux être éloquente.

Adieu la pleurnicharde, l'hystérique et la capricieuse.
S'il est un caprice qui doit perdurer, c'est avec une ambition inéluctable qu'il cohéxistera.

"Il" m'a dit un jour " Il y a une grande différence entre dire, et agir"
Cela parait évident. "C'est certain" me dira t'on.
Mais pas si simple...

On croit, évoquant l'idée, l'avoir sur le champs assimilée et réalisée.
Or, il est grand temps de cesser de "croire".

"Tu te dois d'être sure ma grande."

L'existence, l'interiorité, l'avenir, l'altérité et toute la ribambelle ne sont pas des sciences approximatives.
Il en est assez de bavasser, d'exacerber ses prétendues lignes de conduites et de ne pas s'y tenir.

"Quand je serai grande..."

Tu es grande!


Soit autonome.
Determinée.

J'abandonne une parcelle de soucis pour un hectare de difficultées.
Détrompe toi ; elle n'a pas peur.
Elle est tétanisée, c'est différent, rend toi en compte toi aussi.
Si tout était simple, ça se saurait, et "ça" aurait enfin un nom, l'inconscient!

Les malversations ne sont plus.

"Plus simple de changer les autres que de se changer soit même" Oui Oscar, tu n'as pas tord, comme toujours.
On ne se refait pas.
Mais il n'est pas, aujourd'hui, ni même demain d'ailleurs, question de changer, mais simplement de reconquérir l'authentique, le 1er rôle, la véritable, l'égarée.

Je critiquerai ma personne jusqu'a ce qu'elle soit capable de critiquer l'autre, l'art, avec, le limpide et l'irreprochable ; le jugement véritable.

A vos psychanalyses.

7 janvier 2008

Etalage viscéral d'une ouverture occulaire violente

On y arrive.
A l'instant clé.
L'instant où la vérité étouffe les derniers restes d'illusions encore présentes.
On se demande comment elles ont subsistées d'ailleurs...
Mais ce n'est qu'un détail.

Elle a tout fait, tout dit, tout pensé.
"Tout" en est devenu trop reducteur. Il n'est même plus ici un "bien grand mot"

Echec et Mat

Dorénavant, c'est démunit de toutes forces que le corps avance.
Las, vidé, il se traine,
De coin de rue en coin de coeur,
De souvenir en désaveux,
De véritées en mensonges...

Passé dépourvu d'avenir, le présent en est mort.
Ce fut assez rapide.
Malgré l'instantanéité du décès, je ne peut pas dire qu'il n'a pas trop souffert.
Car c'est faux.

La vie continue.
Un de moins. Dix de plus?
Une autre direction. Cela me suffit amplement.

Nouvelle année, nouveau départ.
Les remords sont des criminels, même s'ils n'ont jamais étés aussi véritables.
La nostalgie est une pute.

Je maudits les homicides et les péripatétitiennes de mon microcosme.

Tant pis.
Une bonne leçon.
J'ai appris.

Vous ne m'y reprendrez plus.

5 janvier 2008

Comme jamais. Ne jamais dire jamais... Trop tard

Forte propension à la disparition.
C'est terrifiant. Et je suis terrifiée.

Elle n'arrive plus à gerer ses déplacements internes.
Devenue lunatique, elle se perd dans les spasmes qui violentent ses entrailles.
Comment en être arrivée là.
Tombée. Jusqu'au plus profond d'un gouffre, la tête levé vers la sortie, le visage fouétté par la terre encore fraiche chutant de l'ouverture béante.
Lèvres entrouvertes, écumeuses, bavant la noirceur d'un interieur vidé.
Les issus ; Elles existent, c'est certain. Mais aucun moyen d'y acceder reelement.

Elle est seule. Seule face à elle même. Seule face aux dégâts.
Je m'accroche à son bras.
Un jour, ce même bras glissera, comme tous les autres ont glissés.
Un jour, elle sera de nouveau seule face à elle même. Seule face aux dégâts.

Amis, familles, débris. C'est tout ce qu'il en reste?
Elle sème à chaque carrefour des coeurs, des corps, des âmes.
La danse des priorités est arrivée trop tard.
Les choix sont faits.
L'issue.

Je suis perdue.

3 janvier 2008

Crève douleur. Etouffer ma haine, pleurer mon malheur. Ecrire sa mort.

On dit que c'est quand on va au plus mal que l'on écrit les plus belles choses.
On est un con. Comme toujours.
J'ai mal. Mal comme jamais. Les entrailles divisées, le coeur rompu, l'esprit vidé de tout positivisme.

Et pourtant, je n'ecrit pas de belles choses.

Si les larmes pouvaient parler, elles chuteraient astucieusement sur chaque touche de ce clavier aussi sombre que les images qui traverssent un esprit mort.

Je dois choisir, choisir encore une fois.
Marre des choix, mais il parrait que ça ne fait que commencer.

Dire adieu ou prendre sur elle.
Adieu. Tellement plus simple. Tellement plus douloureux.
Grandir. Il faut grandir.
Evoluer avec ou sans.
Mais j'ai besoin. J'en ai besoin.
Les caprices. Toujours les mêmes
Un caprice qui pronne la sincérité. Ca existe.

Je me viderai de toute substance liquide, m'assècherai jusqu'a ce que la dernière larme giflle fébrilement le sol. Je crirai ma haine à m'en déchirer les comissures des lèvres, à en faire saigner mes cordes vocales. Je frapperai tout ce qui portera ses lettres, son nom, ses idées jusqu'a en meutrir mes chairs les plus profondes. Je laisserai mon corps exposer son interieur et mon interieur étouffer ce qu'il en reste.

J'ai joué. Et perdu.
Je me vide. J'ai vécu.
Mon esprit est mort, mon ame déchu, mon corps décomposé. Dans mes veines coule le poisson de ces quelques phrases cinglantes.

Je meurt.

Adieu. Je n'en veux plus

2 janvier 2008

Génération "Loose" : Section dévalorisée, culture fébrile. Les examens promettent.

Quand une épave humaine se saisit de ses copies universitaires et tente de déchiffrer et retenir leur contenu, ça ne donne pas grand chose ; voir absolument rien.

Les feuilles se succèdent, les pages sont tournées, retournées, les definitions pleuvent et la logique des théories évoquées ne coule plus du tout de source.
C'est un véritable scandale.
Que lui faut-il pour faciliter le combat sans vergogne qu'elle mène contre ce fichu amat d'informations jonchants le sol?
Un bon coup de pied au derch', une chataîgne symbolique, une leçon, une sacrée punition?
Non.

Une assurance vie je crois.
La demoiselle veux et exige simplement que la masse ingurgitée reste dans son esprit frivole et que cette dernière ne soit pas digéré et expulsée sur le modèle du mécanisme, même interpelant, d'un transit intestinal.
Que faire d'une culture volatile, d'une allumeuse sans précédent qui vous nargue un temps et disparait pour mieux anéantir votre motivation fébrile?
Un bon repas. Ou, un assaisonement pour une bonne salade.
C'est tout.

Il s'avère que ces temps si je n'ai pas faim, mais plutôt soif.
Soif de découvertes, d'apprentissages utilement pérpétués, de leçons aguichantes, d'une culture non pas passagère, mais resistante à l'épreuve du temps et d'une mémoire défaillante.
Voilà tout ce que je demande (... et une assurance qualité - et vie - pour notre pauvre section communication, si c'est possible bien sur. Je ne veux pas me risquer à trop y croire)

Apprendre bêtement. Il en est assez. Ca allait bien pour 2007.
La date de péremption est dépassée depuis presque plus de deux jours.


Je l'ai trouvée la fameuse résolution.

Apprendre utile


Et puis au pire...
... On se la refait en 2009, Hein?