19 janvier 2008

Tue le temps, crève l'ennui ; noie ses nuits.

De bars en soirées, de nuits blanches en levés de soleil.
De remords inéxpliqués en décors inexpliquables.
De nule part à ailleurs.

Caractéristiques d'un accomplissement devenu omniprésent et parfaitement viable à jeun, les os se font plus sympathiques, ils s'exibent gentillement.
Il n'est plus question de quoi que ce soit, même si tout est devenu question.
Elle vit simplement d'émigration et de bierres fraiches.

Plaisir du voyage, elle vole à la rencontre de l'altérité, au secours de son autonomie et au dépend de son futur.
Les autres.
Contact prolongé ; les "tuberculeux" ne sont en aucun cas mis à part.

Le lieu d'étude est vacant, la ville lui appartient, le verre bouteille rafraichie les extrémités bouillonantes et demandeuse de sa main vidée de tout "surplus inutilitaire".
Plus.
Gaspiller face à l'abondance.
Elle n'existe que dans le trop.
Mais jamais assez.

Echappés alcooliques, vapeurs d'éthyle aux vertues fluidificatrice des non-dits.
Bien être de l'image troublée.
Les rues vidées grouillent d'êtres vivants bruyants, de sonorités imperceptibles mais audibles.
Les conversations ivrognes cèdent la place aux altercations physiques.

Pleurer la transparence des corps ; Necessité de faire sortir les interiorités.
La sincérité déstabilisante de l'ivre transpire cette envie moderne.
Les contours doivent profiter, les organes subsister et la conscience laisser place à "ça".
Les flous alcooliques se perpetuent dans les flasques transportables.

Elle, devient le temps d'une utopie le receptacles du liquide agréablement déctructeur.

Joie.
Desinhibition.
Tranquilité d'esprit.


Exacerbation.
Quand le scolaire n'est plus, le temps d'un repos offert par l'éducation nationalement sympathisante, les barrières s'écroulent, les envies deviennet prioritaires, les moyens se les donnent.

Elle à cessé de dire.
Elle agit.

Epuisée


Catin

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