13 novembre 2008

Dérisions éthyliques ( encore ?! OUI )

Le crépitement des braises se fait moins violent. Allumeuse sans pareil, elle s’éteins progressivement.
La flamme calmé, les vices et les vertus s’emballent pour enfin laisser place à un menteur alcoolisé, à un esprit simple et fragilement compliqué.

En voilà des lignes qui séparent un hier infidèle d’un aujourd’hui impromptu.

Les basses se sont emparées de l’étage inférieur. Les fumets saccadés de l’accidentée, bel et bien lasse au fond du verre de dégustation nargue les omissions
enflammées de la dame sans clope, et surtout sans feu.

Voilà qui est bien fou.
Se retrouver ici, en le sein même de la salope détériorante, le cœur allumé, mais les yeux éteins ; tourné vers l’impraticable.
Cette même salope qui inspire pourtant en mon tréfonds bien des volontés funestes aux perspectives alcoolémiques.

Je suis encore capable d’aligner les mots sur cette virtuelle page blanche, bel et bien capable d’existence grammaticalement associé à un trop plein « vocabularistique », même décalée.
C’est fou

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